Si le patient est incapable de changer sa position couchée ou assise par son propre pouvoir, le patient aura des points de pression. Les patients à mobilité réduite subissent donc le risque d'escarres.
À un âge avancé, des changements corporels telles que l’atrophie musculaire et la raideur des articulations peuvent conduire à une immobilité insidieuse. Mais aussi les patients dépressifs et déments ont tendance à diminuer leur propre mouvement.